Micol
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Micol
ParticipantIl falso convitto – Alice Delorenzi, Francesco Fassone
-Parcours itinérante dans une scénographie
-La scénographie représente l’absurdité de notre façon de nous alimenter, c’est très parlant
-la thématique résonne à côté de la Reggia di Venaria Reale,l’exagération esthétique et des conforts.
– Le public fait partie de l’œuvre, il en fait l’expérience sur un wagon de train.I’m at the airport de Miguel Marquez
– incrustations d’art en espace urbaine
– Il détourne des symboles et des lieux en nous montrant souvent des espaces très intimes et cachés.
-Surement il observe longtemps un lieu pour créer une œuvre, il a dû voir une énorme quantité de pigeon par là.Et voilà donc l’aéroport de pigeons.
-Le public sont sans doute les passants, c’est un art qui attire les regards des curieux.Micol
ParticipantVoilà par ma part je vais laisser moi aussi une trace dans cette récolte. Je suis plasticienne et italienne, ma pratique s’oriente vers l’espace public, je vois ici que les pratiques dans ce domaine sont riches et transversales. C’est un terrain ou plusieurs arts se mélangent, il y a des artistes plasticiens, danseur, paysagiste, acteurs, scénographes, performeur, circassien.
Je vais ajouter ici une artiste d’art relationnel /contextuel..comme on l’étiquette, elle a fait tellement des choses, regardez je ne sais pas quoi choisir.
et une oeuvre d’art relationnel, la première en Italie, Legarsi alla montagna («se lier à la montagne»). L’artiste Maria Lai dans les années 80 est invité à faire un monument aux morts, celle-ci répond à l’invitation avec une œuvre dédiée aux vivants. L’artiste s’empare alors d’une légende locale. Celle d’une enfant chargée d’apporter à manger aux bergers sur la montagne et surprise en chemin par une violente tempête. D’une grotte où elle s’est abritée, la petite fille voit apparaître un ruban céleste. Celui-ci l’attire comme un aimant jusqu’à la faire sortir de son refuge, l’exposer à la pluie, au vent mais aussi la sauver in extremis d’un éboulement. De là, cette proposition : «Relions avec un ruban les maisons les unes aux autres, comme quand on a peur et qu’on se serre la main. Voilà ce que sera l’œuvre.”
Voilà une video. -
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