[PAULINEBLe]

Bonjour à tous,

We Can Be Heroes.
Performance participative d’individuation collective // Cie Groupenfonction
Je ne vous en dis pas plus.
Quelques mots : Une rencontre tourangelle inoubliable et fondatrice. Deux mots : Le DESIR et Le SOIN // En tant que spectatrice et héroïne.
Liens :



https://vimeo.com/channels/wecanbeheroes

Rencontres de boîtes.
Cie Kumulus.
Quelques mots : Des comédiens généreux, à l’écoute de nos imaginaires, une parole fédératrice au delà des mots et des chants qui restent en mémoire // En tant que participante (stage universitaire)

La Cie : “De réalité crue et de sentiments à fleur de peau, c’est de cela dont il s’agit.
Sensible au travail de Pina Bausch, Jérôme Bosch et Alain Platel, Barthélemy Bompard insuffle un air d’expressionnisme allemand dans ses spectacles où l’émotion est poussée jusqu’à son paroxysme.
À travers le geste, le mot et le son, la compagnie retranscrit des sujets de la vie quotidienne et de l’actualité mondiale: racisme, folie, exode… La scénographie et l’écriture s’articulent autour d’un paramètre théâtral majeur : l’espace public”.

Les Rencontres de boîtes : Un projet participatif

Les Rencontres de boîtes sont accessibles à tout le monde et l’essentiel se concentre sur la qualité des relations humaines ainsi que sur la force de ce qui est vécu du premier jour de l’atelier jusqu’aux représentations publiques.

L’atelier
» Vous êtes expulsés de chez vous, vous avez 5 minutes pour partir et rassembler des objets personnels qui vous sont chers, qu’emportez-vous? «
L’atelier est destiné, d’une part, à faire vivre un groupe et, d’autre part, à transmettre des outils théâtraux. Le travail avec les participants consiste véritablement à les aider dans la construction de leur histoire, à leur donner le courage de se dévoiler et d’assumer leur fragilité sous le regard des autres.

Les représentations publiques
Ils apparaissent en bandes, leurs boîtes à chaussures fermement calées sous le bras, s’expriment dans des langues inconnues et nous prennent à partie en imprimant leur regard au plus profond de nos yeux, nous qui leur sommes étrangers. Ils nous ouvrent leur cœur et leurs boîtes. La clef devient oiseau, le bouchon de liège une mine anti-personnelle, l’étiquette se transforme en lac…

Liens :

[PAULINEBLe]

Merci Quenehen pour cette découverte de la Compagnie XY. (http://www.ciexy.com/les-voyages/)

LES VOYAGES

La discipline : quelle(s) discipline(s) artistiques identifiez-vous ? Le cirque, les portés acrobatiques mais aussi le toucher, la danse, la photographie…
La thématique : le document permet-il de deviner le propos de l’œuvre ? Oui. Les vidéos réalisées par Samuel Buton, avec des photographies mêlées à des sons captés dans les différentes villes, et quelques vidéos, créent un très beau portrait-paysage des performances, sans y avoir participé en tant que spectatrice.
Le lieu : comment décririez-vous le lieu de représentation ? Les villes, leurs recoins dans l’espace privé (balcons), et public (squares, places, escaliers, centres commerciaux, parcs, etc…)
Vous semble-t-il y avoir un lien entre le lieu et le propos de l’œuvre ? Le lieu a une place primordiale. Il semble définir ce que les acrobates, leurs complices et les spectateurs-passants vont faire ensemble.
Des éléments ont-ils été ajoutés par l’artiste ? L’humain est au centre du projet. Les portés entre acrobates, les portés d’inconnus, la danse en fermant les yeux, le toucher et l’écoute, le rapport à l’air, au balancement…
Le public : comment est disposé le public ? Le public déambule avec les artistes et prend part aux portés ou observe à distance.
Semble-t-il être impliqué dans la représentation ? Oui. Il choisit son degré d’implication.
Quelles relations observez-vous entre l’œuvre et les spectateurs ? Un lien très fort, doux, subtil, de la bienveillance, une connexion, de la joie et du rire, de la peur aussi, une envolée, des traversées. Les vidéos permettent aussi de laisser une trace des lieux traversés avec les habitants.

( –> Voyages vus par le biais des vidéos : Naplouse, Palestine / Cergy, France / Copenhague, Danemark et Aljezur, Odeceixe, Arrifana, Monchique, Portugal. )

[PAULINEBLe]

– Un parc/ une aire, de jeux pour enfants : Ouvert dans la ville, au milieu d’immeubles, à côté ou à l’intérieur d’un jardin public.
– Des toilettes publiques : accessibles gratuitement. Qui pourraient être ouvertes jour et nuit, pour les personnes à la rue. Avec du papier, de l’eau pour boire ou se laver, et des protections hygiéniques.

Définition possible de l’espace public : Lieu ouvert à tous, qui devrait être accessible à tous, dans lequel on peut se trouver pour se reposer, lire, jouer, manger, boire, rencontrer d’autres personnes, s’émouvoir, rêver, répondre à nos besoins vitaux, sortir de son logement, maintenir un lien avec la nature, avec les autres, réfléchir, s’interroger, déplacer nos certitudes, grandir et vieillir…

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