Appropriations licites et illicites

Publié le 24 mai 2024 dans

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Introduction sonore aux enjeux d’appropriations, licites et illicites, avec : Grégoire Robillard, délégué territorial de l’AFEV, Agglomération Dunkerquoise / Julia Maria Lopez, Plasticienne et directrice artistique, La Maison Jaune, Saint-Denis / Sarah Guettai, Directrice prévention et tranquillité publique de la ville de Malakoff puis de Grigny / Christophe Jibard, éducateur de prévention, Paris 19e / Christine Bellavoine, Sociologue, ville de Saint-Denis / Pascal Szpiro, Directrice de la vie associative et des quartiers, ville de Clichy-sous-Bois.

L’appropriation de l’espace public est inégale selon les lieux, les genres, les âges, les heures… S’approprier un lieu, c’est pouvoir s’y sentir chez soi, l’investir par des usages, mais aussi en prendre soin. La légitimité à être acteur.rice des lieux se construit avec ce sentiment d’appartenance.

Les cadres réglementaires sont le plus souvent fondés sur l’idée que l’interdit ou l’obligation garantissent la liberté de tous et toutes. Il faut pourtant parfois oser la transgression pour s’approprier un lieu. Des usages spontanés peuvent rapidement être considérés comme illicites s’ils n’ont pas été validés en amont par l’autorité publique. Certaines formes qui s’expriment dans ces usages sont néanmoins nécessaires pour faire évoluer l’action publique. Comment les reconnaître et les soutenir sans les formater ?